Programme
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Réalisateur, Canada Chris Landreth a démarré en tant qu’ingénieur en mécanique, avant de décider, en 1990, que faire du cinéma d’animation serait beaucoup plus amusant. Il figure aujourd’hui parmi les réalisateurs d’animation les plus réputés au Canada, en tant que créateur d’un style très particulier qu’il qualifie de « psychoréalisme ». Plusieurs de ses films ont été récompensés, dont Bingo, couronné d’un prix Génie en 1998, et Ryan, qui remporte l’Oscar du meilleur court d’animation en 2004 et une soixantaine d’autres prix. En plus de son activité de cinéaste, il enseigne l’animation des visages dans des écoles, des universités et des studios d’animation partout dans le monde. Durée : 2h env. (dont projection : 48 min env.) The End
Chris Landreth / Canada / 1995 / 6 min 18 The End a été réalisé pour tester un nouveau logiciel d’animation faciale « AW » qui se développait à l’époque. Mais il est bien plus qu’un test : le film a été nominé aux Oscars en 1996 ! Bingo
Chris Landreth / Canada / 1998 / 5 min 13 Ce film a été réalisé dans le cadre du processus de création du logiciel d’animation Maya, « pour tenter de dissiper ma crainte permanente des clowns », dit Chris Landreth… Mais cela n’a pas fonctionné ! Ryan
© 2004 Copper Heart Cut Inc. and the National Film Board of Canada. All rights reserved. Chris Landreth / Canada / 2004 / 14 min Ce film s’inspire de la vie de Ryan Larkin, un animateur canadien qui, il y a trente ans, a réalisé certaines des œuvres les plus marquantes de son époque. The Spine (L’échine)
Chris Landreth / Canada / 2009 / 11 min 17 Une touchante histoire de rédemption qui nous entraîne au cœur de la relation entre un homme et une femme emprisonnés dans un tourbillon de destruction mutuelle, après 26 ans de mariage. Subconscious Password (Jeu de l’inconscient)
© 2013 National Film Board of Canada. All rights reserved. Chris Landreth utilise une maladresse assez fréquente en société – oublier le nom d’une connaissance – comme point de départ d’une troublante incursion dans les méandres de l’inconscient. Avec le soutien du Centre culturel canadien.
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